La terre tremble. Sans fin. Plus rien ne tient debout dans sa maison. Des amphores brisées gisent dans les coins. Le vin souille les fresques murales. Le carrelage se soulève par endroits. Les canalisations pètent. L’eau ruisselle sous ses sandales.
« révolte »
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atlante, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Delphine Régnard (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
La terre tremble. Sans fin. Plus rien ne tient debout dans sa maison. Des amphores brisées gisent dans les coins. Le vin souille les fresques murales. Le carrelage se soulève par endroits. Les canalisations pètent. L’eau ruisselle sous ses sandales. Las, le pied traînant, il (...)
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tout ce qu’on veut,
dans
oloés au jour le jour,
le
7 janvier 2015
écrire dessiner tout ce qu'on veut point barre
écrire
dessiner -
Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Cécile Benoist (octobre 2014),
le
3 octobre 2014
Pour lire mon texte, allez là
Chère Grisélidis Réal,
Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. -
gueule cassée,
dans
oloés au jour le jour,
le
12 janvier 2015
y a pas à dire la liberté c'est important restons-y fidèles à cette belle idée un peu casse gueule
y a pas à dire
la liberté
c’est important -
in the middle, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Sébastien de Cornuaud-Marcheteau (février 2015),
le
6 février 2015
Mon texte est accessible là.
Mon texte est accessible là.
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Ronde de nuit, par Myriam OH,
dans
écrire avec Myriam OH (septembre 2014),
le
5 septembre 2014
j'ai dans le ventre un Lion qui n'en peut plus de compter les moutons pour s'endormir enfin j'ai dans le cœur un Lion qui n'en veut plus de vos rêves à ronger en attendant mieux prends ma main suis les chemins de mes caprices embarque pour ma ronde de nuit prends ma main le (...)
j’ai dans le ventre un Lion qui n’en peut plus de compter les moutons pour s’endormir enfin
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l’orgueil,
dans
petits bouts de vie,
le
20 décembre 2013
Quand on touche le fond. Quand rien ne va plus. Quand on s’abaisse. A traîner les genoux au sol. Yeux en l’air. Tristes. Implorants. Rien de mieux. Qu’un bon petit coup de pied au cul. Une bravade. Un sourire vengeur. Rien de mieux. Que de se dire. Non mais. Vraiment. De sourire (...)
Quand on touche le fond. Quand rien ne va plus. Quand on s’abaisse. A traîner les genoux au sol. Yeux en l’air. Tristes. Implorants. Rien de mieux. Qu’un bon petit coup de pied au cul.
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Belfort, le 3 octobre 2014 à minuit, par Angèle Casanova,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
3 octobre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. Les mains apposées dans un coin, ce sont celles de l’écrivain. De la prostituée qui astique les bites. Délicates. Habiles. Le nom affiché (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je me promenais à Belleville quand je suis tombée sur ce mur. Je lui ai trouvé un petit air de ressemblance avec vous. -
le trait, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Nolwenn Euzen (mai 2014),
le
2 mai 2014
« Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage. De quelqu’un dont je cherche le visage. Désir (...)
« Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage.
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Un grain de sable,
dans
publications,
le
16 mars 2015
"Ce qui reste accompagnera ce printemps et ce thème en publiant, chaque jour pendant deux semaines, une œuvre collective et inédite parmi les nombreuses propositions reçues lors de cet appel à contribution." (CE QUI RESTE, Insurrection poétique) J’ai le plaisir de vous annoncer (...)
"Ce qui reste accompagnera ce printemps et ce thème en publiant, chaque jour pendant deux semaines, une œuvre collective et inédite parmi les nombreuses propositions reçues lors de cet appel à contribution." (CE QUI RESTE, Insurrection poétique)
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