par angèle casanova

« sexualité »

  • recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, aux Editions Bancal, dans publications, le 5 octobre 2015

    J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème duel dans le recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, le premier ouvrage publié par les Editions Bancal.

    J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème duel dans le recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, le premier ouvrage publié par les Editions Bancal. A cette occasion, j'ai signé, avec grande émotion, mon premier contrat d'auteur. Le livre numérique (...)
  • Poudrerie, par François Bonneau, dans écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017), le 12 avril 2013

    Ça craquait sous les pieds. Est-ce qu’on était encore dehors ? Un peu, suffisamment. Avec les bas d’Angélique. Bas de laine, cuisses et mollets, ma fortune et la sienne. Avec ses paquets de cookies. La pluie en moins.

    Ça craquait sous les pieds. Est-ce qu’on était encore dehors ? Un peu, suffisamment. Avec les bas d’Angélique. Bas de laine, cuisses et mollets, ma fortune et la sienne. Avec ses paquets de cookies. La pluie en moins. La bécote sur les bancs publics, on avait passé l’âge ; on (...)
  • le trait, par Angèle Casanova, dans écrire avec Nolwenn Euzen (mai 2014), le 2 mai 2014

    « Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage.

    « Le corps contient le tout. Il s’écrit par l’entremise du mouvement de la main alors qu’il ne bouge pas. Ne pas bouger est une attitude de désir. Le corps est suspendu au désir. De tout et de rien. De quelqu’un à qui je prête un visage. De quelqu’un dont je cherche le visage. Désir (...)
  • répétition, dans répétition, le 26 septembre 2013

    Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu.

    Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu. Entreprise ô combien périlleuse. J’en (...)
  • rectangle amoureux, dans mon corps numérique, le 24 novembre 2013

    Elle sort de la douche. Un nuage de buée s’échappe de la porte en plexiglas. Elle essuie le miroir du plat de la main, écarte sa tignasse trempée pour mieux voir son visage.

    Elle sort de la douche. Un nuage de buée s’échappe de la porte en plexiglas. Elle essuie le miroir du plat de la main, écarte sa tignasse trempée pour mieux voir son visage. Elle attrape la serviette, frotte énergiquement ses cheveux retournés puis le reste de son corps. Alors elle (...)
  • géométrie variable, dans oeuf mimosa, le 3 août 2014

    Ce qu’elle a ce qu’elle est. Comment départager. C’est compliqué. Avoir un corps. L’incarner. Être ce corps. Le dépasser de l’intérieur. Être autre à l’intérieur. S’en sentir écartée. Mise à la marge. Être chair et puis quoi.

    Ce qu’elle a ce qu’elle est. Comment départager. C’est compliqué. Avoir un corps. L’incarner. Être ce corps. Le dépasser de l’intérieur. Être autre à l’intérieur. S’en sentir écartée. Mise à la marge. Être chair et puis quoi. Alors traîner ses guêtres. Se heurter à tous les coins de bureau (...)
  • LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA , dans photo-textes, le 3 octobre 2013

    Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).

    A LOUER Juché sur une échelle, l’agent immobilier fixe tant bien que mal la bannière au-dessus de la boutique décrépite. Il descend, recule au ras du trottoir, tire la langue, un œil fermé, la tête inclinée… Ça pourrait être pire. Il ne lui reste plus qu’à attendre le chaland. Plus (...)
  • le jeu des corps, dans love letters, le 25 mai 2015

    nos cartes on se les montre
    blanches et roses et
    lisses

    nos cartes on se les montre blanches et roses et lisses on se les montre à bout touchant nos corps irradiés en gardent trace poudre alentours peau brûlée cris étranglés mort jusqu'à la prochaine fois
  • Je pense donc je suis, dans publications, le 15 octobre 2015

    J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Je pense donc je suis dans la Revue-blog aléatoire LOREM_IPSUM n°87 (octobre 2015).

    J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle Je pense donc je suis dans la Revue-blog aléatoire LOREM_IPSUM n°87 (octobre 2015).
  • aflojar a fondo, par Angèle Casanova, dans écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017), le 12 avril 2013

    Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.

    Pour lire mon texte, aller là

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