La maison de nos rêves.
(Celui qui laisse la maison vieille pour la maison neuve, sait bien ce qu’il perd, mais ne sait pas ce qu’il trouve)
« photographie »
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La maison de nos rêves, par Giovanni Merloni (site le portrait inconscient),
dans
écrire avec Giovanni Merloni (mars 2014),
le
7 mars 2014
La maison de nos rêves. (Celui qui laisse la maison vieille pour la maison neuve, sait bien ce qu’il perd, mais ne sait pas ce qu’il trouve) J'avais reçu une lettre non signée de quelqu'un qui devait me connaître très bien. Donc, apparemment, j’aurais dû découvrir à mon tour celui (...)
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Métabolisme [série],
dans
Métabolisme [série],
le
16 mars 2015
J'ai le plaisir d'annoncer la publication de ma série poétique Métabolisme [série] sur LA REVUE DES RESSOURCES, dans la rubrique Création - Poésie (article paru le mardi 10 mars 2015).
J’ai le plaisir d’annoncer la publication de ma série poétique Métabolisme [série] sur LA REVUE DES RESSOURCES, dans la rubrique Création - Poésie (article paru le mardi 10 mars 2015).
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coup de soleil, par Angèle Casanova,
dans
le grain du mur,
le
24 mars 2014
leur signe de reconnaissance ils le choisissent au coin d’une banquette de café autour d’une bonne bière ils se le disent on devrait marquer notre territoire d’un coup de soleil montrer qui on est où on vit où on rayonne ouais on devrait alors faisons-le dès ce soir avec quoi des (...)
leur signe de reconnaissance
ils le choisissent
au coin d’une banquette de café
autour d’une bonne bière -
des flammes sur le Père-Lachaise,
dans
photo-textes,
le
18 février 2008
Je n’entre jamais au Père Lachaise que par son entrée principale. Que par cet escalier, qui nous fait passer de la vie au trépas, de la vitesse à la lenteur, de la grisaille aux teintes subtiles… Mes pieds, en foulant ces marches, se font plus respectueux, plus curieux aussi de la (...)
Je n’entre jamais au Père Lachaise que par son entrée principale.
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des nouilles à l’Abreuvoir, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Pierre Ménard (mai 2013),
le
3 mai 2013
Pour lire mon texte, allez là
« Voir Bobigny
– Il n’y a rien à voir à Bobigny.
– Pourquoi, ça n’existe pas ?
– Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer. -
vous avez consommé toutes vos minutes, une recension des Vases communicants de janvier 2015, par Angèle Casanova,
dans
recensions des Vases communicants de janvier 2015,
le
4 janvier 2015
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j'obtempère. Les Vases communicants doivent continuer à donner de la voix. Il faut dire que notre bande son s'étoffe rapidement, grâce à la participation des auteurs, et aux lectures qu'Olivier Savignat et (...)
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j’obtempère.
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voir rouge,
dans
photo-textes,
le
22 novembre 2013
Je ne sais pas trier. Les papiers s’entassent. Se perdent. Et pourtant. Quand j’emménage quelque part, je prévois toujours un coin. Pour lire. Pour écrire. Je le mets en scène. Mais quand il s’agit de l’utiliser, plus personne. Je m’installe n’importe où. Plutôt que dans mon nid (...)
Cette performance a été réalisée dans le cadre du pecha kucha littéraire "Oloé, des espaces élastiques Où lire Où écrire", proposé pour l’inauguration de L@ppli, l’espace numérique des Médiathèques de Strasbourg, le 22/11/2013 (Médiathèque André Malraux).
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voyage au bout de ma nuit,
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la route,
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8 décembre 2013
Je prends l’autoroute. Direction. Tout droit. J’appuie sur l’accélérateur. La vitesse me décolle le cerveau. L’aère. Le fait respirer. Mon champ d’action s’élargit. La nuit me tombe dessus comme une chappe de plomb. Ici. Elle est noire. Sans tache. Profonde. Aucune lueur rose à (...)
Je prends l’autoroute. Direction. Tout droit. J’appuie sur l’accélérateur. La vitesse me décolle le cerveau. L’aère. Le fait respirer. Mon champ d’action s’élargit. La nuit me tombe dessus comme une chappe de plomb. Ici. Elle est noire. Sans tache.
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erreur sur la personne,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème erreur sur la personne, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. erreur sur la personne a été (...)
J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème erreur sur la personne.
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L’OS DE L’OBSCUR (brève autopsie des secrets), par André Rougier,
dans
écrire avec André Rougier (novembre 2012),
le
2 novembre 2012
(bien que conçu en grande partie avant sa disparition, je dédie ce texte à la mémoire et, surtout, à la présence de Maryse Hache, qui m’a réconcilié avec beaucoup de choses et, peut-être, – alors que je croyais que c’était fait depuis longtemps – avec une part presque oubliée de (...)
(bien que conçu en grande partie avant sa disparition, je dédie ce texte à la mémoire et, surtout, à la présence de Maryse Hache, qui m’a réconcilié avec beaucoup de choses et, peut-être, – alors que je croyais que c’était fait depuis longtemps – avec une part presque oubliée de moi-même…)
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