J’ai l’immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l’humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda).
« horreur »
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Là où l’humain se planque,
dans
Là où l’humain se planque. Tarmac, 2017 (Complément de lieu),
le
14 mai 2017
J'ai l'immense joie de vous annoncer la parution de mon premier livre, Là où l'humain se planque, publié aux Editions Tarmac (avril 2017), avec une couverture de Jacques Cauda. Ils en parlent : Patrice Maltaverne (note de lecture) Nouvelle Donne, ici (note de lecture) et ici (...)
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Minotaure, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
23 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
Dans ces entrailles de pierre
un monstre digère
les amants fugitifs -
Tantale, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
21 juillet 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
Ô rade de l’espoir
éternel mirage
des âmes suppliciées -
Chronos, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
31 juillet 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
Monstre des environs
quotidien que j’apprivoise
et me dévore sitôt le jour -
antigone, par Angèle Casanova ,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
28 octobre 2013
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée. Des cris résonnent (...)
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée.
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le raisin, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Stéphane Bataillon (décembre 2015),
le
4 décembre 2015
Pour lire mon texte, allez là.
Pour lire mon texte, allez là.
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parenthèse temporelle,
dans
maman, maman, j’ai rêvé de l’ours,
le
6 novembre 2006
21h00. Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision. Le téléphone sonne. Le fixe ? Papa m’a appelé cette semaine. Ca doit être maman. Je décroche. Ouaip ? Mademoiselle … ? Oui ? Je suis l’agent … de la gendarmerie de …. Vous êtes bien la fille de Madame … ? Oui ? (...)
21h00.
Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision.
Le téléphone sonne. -
mucus,
dans
maman, maman, j’ai rêvé de l’ours,
le
19 décembre 2013
Je suis seule. En mon château. En haut d’un pic. Au bord d’une falaise. Au-dessus de flots furieux qui m’assourdissent. Je suis seule. En ce château. Au fond des oubliettes. Mon corps bleui par l’hypothermie. Tremblant. Chétif. A peine un soupçon dans l’ombre. Là, pourtant. Mon (...)
Je suis seule. En mon château. En haut d’un pic. Au bord d’une falaise. Au-dessus de flots furieux qui m’assourdissent. Je suis seule. En ce château. Au fond des oubliettes. Mon corps bleui par l’hypothermie. Tremblant. Chétif.
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icare, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
25 octobre 2013
La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui. Ses yeux aveugles à tout sauf à la lumière (...)
La fenêtre est grande ouverte. Il fait bon. Le soleil inonde la rue et se réverbère en petits pinceaux lumineux sur les murs blancs de la pièce. Une porte s’ouvre. Un homme entre. Il marche. Lentement. En regardant fixement devant lui.
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atlante, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Delphine Régnard (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
La terre tremble. Sans fin. Plus rien ne tient debout dans sa maison. Des amphores brisées gisent dans les coins. Le vin souille les fresques murales. Le carrelage se soulève par endroits. Les canalisations pètent. L’eau ruisselle sous ses sandales. Las, le pied traînant, il (...)
La terre tremble. Sans fin. Plus rien ne tient debout dans sa maison. Des amphores brisées gisent dans les coins. Le vin souille les fresques murales. Le carrelage se soulève par endroits. Les canalisations pètent. L’eau ruisselle sous ses sandales.
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