Au fil du temps, ma recension des Vases communicants a pris de l’ampleur. Les participants se sont multipliés, leurs textes se sont parfois faits fleuve, et j’ai dû m’adapter, de manière à continuer de vous proposer une recension agréable à parcourir et simple d’accès.
« François Bonneau »
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mp3 wma audacity et caetera, une recension des Vases communicants de mars 2015, par Angèle Casanova,
dans
recensions des Vases communicants de mars 2015,
le
13 mars 2015
Au fil du temps, ma recension des Vases communicants a pris de l'ampleur. Les participants se sont multipliés, leurs textes se sont parfois faits fleuve et j'ai dû m'adapter, de manière à continuer de vous proposer une recension agréable à parcourir et simple d'accès. Comme, le (...)
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plus d’encre dans l’imprimante, une recension des Vases communicants de décembre 2014, par Angèle Casanova,
dans
recensions des Vases communicants de décembre 2014,
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8 décembre 2014
Plus d'encre dans l'imprimante, il va falloir changer le toner. Faire la recension des Vases communicants demande une grande organisation. Préparer les textes pour leur lecture à voix haute en Courrier new taille 12 un interligne 1/2. Agrafer les feuillets, les tromboner par (...)
Plus d’encre dans l’imprimante, il va falloir changer le toner.
Faire la recension des Vases communicants demande une grande organisation. -
Premiers vases de l’année - et dernière recension brigetounienne,
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recensions des Vases communicants de janvier 2015,
le
3 janvier 2015
Pour lire la recension de Brigitte Célérier, allez là
La période des fêtes, la tant redoutée, mais la si aimable cette année, abstraction faite de carcasse, étant close, me suis installée, ouvrant, pour la dernière fois je pense - parce qu’Angèle Casanova assure si bien la relève - un fichier vierge, pour lire les vases communicants en ce début d’année...
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elle pousse,
dans
au ras du sol,
le
19 décembre 2014
elle pousse pile à l'intersection des droites lignes de fuite elle pousse là au cœur courbe et folle elle propose une alternative à l'orthogonalité une broadway un abribus où s'arrêter folâtrer avant que de reprendre la route sur ces lignes droites sans (...)
elle pousse
pile
à
l’intersection -
vous avez consommé toutes vos minutes, une recension des Vases communicants de janvier 2015, par Angèle Casanova,
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recensions des Vases communicants de janvier 2015,
le
4 janvier 2015
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j'obtempère. Les Vases communicants doivent continuer à donner de la voix. Il faut dire que notre bande son s'étoffe rapidement, grâce à la participation des auteurs, et aux lectures qu'Olivier Savignat et (...)
Vous avez consommé toutes vos minutes. Vous avez consommé toutes vos... Ok, j’obtempère.
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Quand les mots parlent encore - un hommage à Maryse Hache, une recension des Vases communicants de mai 2015, par Angèle Casanova,
dans
recension des Vases communicants de mai 2015,
le
6 mai 2015
Quand les mots parlent encore, malgré l'absence. Quand les mots du blog paraissent en livre. Quand les Vases communicants passés nous invitent à relecture. Quand une soirée en l'honneur de Maryse Hache s'est tenue le lundi 4 mai 2015 à Paris, sur l'initiative de Publie.net, qui (...)
Quand les mots parlent encore, malgré l’absence. Quand les mots du blog paraissent en livre.
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hypothèses de travail, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017),
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7 avril 2017
Pour lire mon texte, aller là.
Pour lire mon texte, aller là.
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des champs de pneus,
dans
au ras du sol,
le
21 décembre 2014
des champs de pneus à l'infini ils poussent au milieu des bocages se multiplient ils gagnent du terrain sur le ciel bientôt ils recouvriront la face du monde une terre pneumatique surgira des décombres
des champs de pneus
à l’infini -
aflojar a fondo,
dans
photo-textes,
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12 avril 2013
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées. De la rue, la façade accroche la lumière. On la devine, sa (...)
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.
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Clémente, par François Bonneau,
dans
écrire avec François Bonneau (avril 2013 et avril 2017),
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7 avril 2017
Si tu ne me demandes qu’un seul mot, alors je dirais bien clémente. Je t’assure, c’est le premier qui m’est venu en tête. Clémente, oui, à cause de la couleur. Bien sûr que je le dis pour le moment précis où tu m’es apparue. Là, de la manière dont tu te montrais, c’est comme si un (...)
Si tu ne me demandes qu’un seul mot, alors je dirais bien clémente.
Je t’assure, c’est le premier qui m’est venu en tête. Clémente, oui, à cause de la couleur. Bien sûr que je le dis pour le moment précis où tu m’es apparue.
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