Mon texte est accessible là.
écrire avec Sébastien de Cornuaud-Marcheteau (février 2015)
Sébastien de Cornuaud-Marcheteau, j’avais envie d’échanger avec lui. Je l’y ai invité, il a accepté.
Sébastien de Cornuaud-Marcheteau m’a proposé de partir de la phrase suivante : "Je marche sur la ligne blanche continue". Je lui ai dit oui sans réfléchir et avec la plus grande joie.
Merci Sébastien de Cornuaud-Marcheteau pour ce bel échange.
Sébastien de Cornuaud-Marcheteau. Labyrinthiques
***
"Tiers Livre (http://www.tierslivre.net/) et Scriptopolis (http://www.scriptopolis.fr/) sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."
Le blog Le rendez-vous des vases communicants centralise la liste des échanges. Vous y trouverez la liste des Vases communicants en février 2015.
J’ai le plaisir d’avoir succédé à Brigitte Célérier comme administratrice des Vases communicants depuis le début du mois d’octobre 2014. Nous proposons deux recensions des échanges sur nos blogs/sites respectifs, Paumée et gadins et bouts de ficelles.
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Je marche sur la ligne blanche continue. Il y a une route. Il y a une ligne qui longe la route, une ligne blanche continue. Infinie sans doute. A droite un espace où l'arrêt d'urgence est encore possible. Peut-être même, souhaitable. A défaut d'aire de repos, l'arrêt d'urgence est une alternative qu'il convient de ne jamais négliger dans les déplacements hasardeux qu'impose la (...)
Je marche sur la ligne blanche continue.
Il y a une route. Il y a une ligne qui longe la route, une ligne blanche continue. Infinie sans doute.