par angèle casanova

écrire avec Christophe Sanchez (septembre 2013)

Christophe Sanchez, j’ai le souvenir d’avoir voyagé dans ses textes. De nombreuses fois.
Christophe Sanchez, j’ai le souvenir d’avoir eu envie de voyager avec lui. Pour de faux. Mais quand même.
Christophe Sanchez, je lui ai proposé un mot. Une idée. Le crépuscule. Il a dit oui. Christophe Sanchez, merci d’avoir frémi avec moi au soir qui tombe.

Christophe Sanchez. fut-il

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Mais, diront certains, qu’est-ce que ces "vases communicants" ?
Ils sont définis ainsi sur l’onglet A propos du groupe facebook qui leur est dédié :

"Tiers Livre (http://www.tierslivre.net/) et Scriptopolis (http://www.scriptopolis.fr/) sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."

Vous souhaitez participer ? Inscrivez-vous au groupe, et faites-vous connaître.
Par ailleurs, le blog Le rendez-vous des vases recense, mois par mois, sous l’égide de Brigitte Célerier, la liste des blogs participants. Vous y trouverez donc la liste des vases pour septembre 2013.

Derniers textes publiés :

  • un rideau peint, par Angèle Casanova, dans écrire avec Christophe Sanchez (septembre 2013), le 6 septembre 2013

    Un rideau peint. Scène de théâtre impromptue, le faîte de la grange se dessine. Noir sur bleu sombre. Froid. La montagne. On la devine. Par tous les pores de la peau. Dans l’air qu’on respire. Le soir. L’ombre, le froid tombent soudainement.

    Un rideau peint. Scène de théâtre impromptue, le faîte de la grange se dessine. Noir sur bleu sombre. Froid. La montagne. On la devine. Par tous les pores de la peau. Dans l’air qu’on respire. Le soir. L’ombre, le froid tombent soudainement. Il fait chaud. Et puis plus si chaud. Et puis plutôt frais. La nuit tombe et la fraîcheur s’impose. Un rideau peint. Rien ne bouge. Un oiseau (...)
  • Je fais comme si..., par Christophe Sanchez (fut-il), dans écrire avec Christophe Sanchez (septembre 2013), le 5 septembre 2013

    Je fais comme si une nouvelle fois le jour n’avait pas égratigné mes rêves, mes espoirs et mes craintes. Juste une poignée de secondes avant la grande bascule.

    Je fais comme si une nouvelle fois le jour n’avait pas égratigné mes rêves, mes espoirs et mes craintes. Juste une poignée de secondes avant la grande bascule. C’est la minute lourde et tendue, celle qui traine sa savate dans le trouble, celle qui ferme le clapet du monde. En croquant l’horizon d’une mâchoire molle, le crépuscule allègera les angoisses inutiles. Je tire sur une (...)