par angèle casanova

écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016)

Jean-Claude Goiri, la première fois que je l’ai vu, il était assis derrière le stand de Festival permanent des mots, au Salon de la Revue.
Jean-Claude Goiri, je n’ai pas arrêté de passer et de repasser devant lui. A chaque fois, une discussion s’improvisait.
Jean-Claude Goiri, j’ai fini par lui envoyer un texte pour sa revue, et il l’a aimé. Cela m’a rendue heureuse.
Jean-Claude Goiri, je lui ai proposé de se rencontrer autour d’un Vase, et il a dit oui.
Jean-Claude Goiri et moi, nous souhaitions partir à l’aventure sans amarre, thématique ou contrainte, rien.
Jean-Claude Goiri, je lui ai envoyé mon poème Hajime qui, étrangement, propose une suite au poème offert à Lamber Savigneux, Lucario faites la vague, pour les Vases communicants de janvier. Le Japon me poursuit. Et l’enfance, puisqu’il s’agit d’un nouveau poème sur mon fils.
Jean-Claude Goiri, quand il a reçu mon poème, a eu envie d’écrire sur l’enfance. Dans la même journée, je recevais Ton être poussant...
Jean-Claude Goiri, merci pour ce bel échange.

Jean-Claude Goiri. Jean-Claude Goiri et Festival permanent des mots

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"Tiers Livre (http://www.tierslivre.net/) et Scriptopolis (http://www.scriptopolis.fr/) sont à l’initiative d’un projet de vases communicants : le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d’un autre, à charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les invitations. Circulation horizontale pour produire des liens autrement… Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."

Le blog Le rendez-vous des vases communicants, tenu par Marie-Noëlle Bertrand, centralise la liste des échanges. Vous y trouverez la liste des Vases communicants en février 2016.

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Derniers textes publiés :

  • Ton être poussant, par Jean-Claude Goiri, dans écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016), le 5 février 2016

    Je t’ai appris à tomber quand tu marches
    je t’ai appris à parler avec nous
    je t’ai appris à lire dans tes pensées
    et je t’ai fait voir

    Je t’ai appris à tomber quand tu marches je t’ai appris à parler avec nous je t’ai appris à lire dans tes pensées et je t’ai fait voir comment ça tombe les feuilles mais je ne t’ai jamais dit pourquoi je les ramasse Je t’ai appris l’arrondi de la terre je t’ai appris les carrures d’une maison je t’ai appris les quatre coins du monde et je t’ai fait voir comment ça tombe la nuit mais (...)
  • Hajime, par Angèle Casanova, dans écrire avec Jean-Claude Goiri (février 2016), le 5 février 2016

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