Les marronniers ont disparu. Mais le nom est resté. Café des marronniers. Têtu, il nargue les nouveaux. Les remplaçants. Ceux qu’on a plantés à la place des marronniers.
« Belfort »
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les marronniers perdus,
dans
au bistrot,
le
20 juillet 2014
Les marronniers ont disparu. Mais le nom est resté. Café des marronniers. Têtu, il nargue les nouveaux. Les remplaçants. Ceux qu’on a plantés à la place des marronniers. Le jour où traînant ma valise à roulettes, je traverse la place d’armes pour la première fois, elle est trouée. (...)
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ligne de partage,
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la route,
le
6 février 2014
l’autoroute défile je grignote le terrain je passe devant ce panneau ligne de partage des eaux zone frontière entre sud et nord comme si une tension existait en ce lieu un équilibre invisible instable peut-être une ligne où les mers si loin pourtant s’affrontent se combattent en (...)
L’autoroute défile
Je grignote le terrain
Je passe devant ce panneau
Ligne de partage des eaux -
ligne de partage,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème ligne de partage, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. Ligne de partage a été initialement (...)
J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème ligne de partage.
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la femme de l’ogre,
dans
publications,
le
2 avril 2017
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle La femme de l'ogre dans Le dessin s'écrit en ligne _, par Florent Wong, publié aux Editions Catalpas en mars 2017, p. 30-31.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle La femme de l’ogre dans Le dessin s’écrit en ligne _, par Florent Wong, publié aux Editions Catalpas en mars 2017, p. 30-31.
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love letters [extraits],
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love letters,
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4 mars 2015
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication dans la revue CE QUI RESTE de deux poèmes, exil et j'te tourne autour, extraits de love letters, correspondance amoureuse (en grande partie inédite) tenue avec Olivier Savignat en (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication dans la revue CE QUI RESTE de deux poèmes, exil et j’te tourne autour, extraits de love letters, correspondance amoureuse (en grande partie inédite) tenue avec Olivier Savignat en 2014.
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there’s something happening here,
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le papier à musique,
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25 septembre 2013
deux notes claires définitives elles sonnent mes yeux se dilatent réflexe je visualise leur surface tandis qu’elle devient sensible ces notes baignent mes yeux les lavent ouvrent la porte et pourtant douleur, que cette chanson guns, tort et raison douleur, mais les deux (...)
deux notes claires
définitives
elles sonnent
mes yeux se dilatent -
Un grain de sable,
dans
publications,
le
16 mars 2015
"Ce qui reste accompagnera ce printemps et ce thème en publiant, chaque jour pendant deux semaines, une œuvre collective et inédite parmi les nombreuses propositions reçues lors de cet appel à contribution." (CE QUI RESTE, Insurrection poétique) J’ai le plaisir de vous annoncer (...)
"Ce qui reste accompagnera ce printemps et ce thème en publiant, chaque jour pendant deux semaines, une œuvre collective et inédite parmi les nombreuses propositions reçues lors de cet appel à contribution." (CE QUI RESTE, Insurrection poétique)
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Lecture musicale de Là où l’humain se planque, accompagnée à la guitare par Philippe Poirot,
dans
Là où l’humain se planque. Tarmac, 2017 (Complément de lieu),
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16 janvier 2018
Le samedi 20 janvier 2018, j'ai le plaisir de participer à la Nuit de la lecture au Centre culturel d'Auxelles-Haut. A 21h45, j'y proposerai une lecture musicale de Là où l'humain se planque, accompagnée à la guitare par Philippe Poirot. Après avoir débuté la guitare en (...)
Le samedi 20 janvier 2018, j’ai le plaisir de participer à la Nuit de la lecture au Centre culturel d’Auxelles-Haut avec une lecture musicale de Là où l’humain se planque, accompagnée à la guitare par Philippe Poirot.
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un rideau peint, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Christophe Sanchez (septembre 2013),
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6 septembre 2013
Un rideau peint. Scène de théâtre impromptue, le faîte de la grange se dessine. Noir sur bleu sombre. Froid. La montagne. On la devine. Par tous les pores de la peau. Dans l’air qu’on respire. Le soir. L’ombre, le froid tombent soudainement. Il fait chaud. Et puis plus si chaud. Et (...)
Un rideau peint. Scène de théâtre impromptue, le faîte de la grange se dessine. Noir sur bleu sombre. Froid. La montagne. On la devine. Par tous les pores de la peau. Dans l’air qu’on respire. Le soir. L’ombre, le froid tombent soudainement.
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Belfort, le 25 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
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25 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours. De vous tuer. Des larmes ont commencé à (...)
Chère Grisélidis Réal,
J’étais confortablement installée dans la salle d’attente des impôts quand j’ai tourné la dernière page de votre dernier livre. En le refermant, j’ai eu l’impression terriblement poignante de vous quitter pour toujours.
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