Dans ces entrailles de pierre
un monstre digère
les amants fugitifs
« mythe »
-
Minotaure, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
23 juin 2014
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-
Narcisse, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
25 juin 2014
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J’ai lu mon image
l’univers a approuvé
le verdict des eaux -
Orphée, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
26 juin 2014
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L’amour m’a guidé
aux confins des ombres
et encore au-delà -
Actéon, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
30 juin 2014
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Seul au fonds des bois
j’ai vu celle dont l’image
me dévore encore -
Antigone, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
9 juillet 2014
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On m’a confié les yeux
de la ville j’aperçois déjà
les portes du tombeau -
Typhon, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
5 juillet 2014
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D’avoir voulu détrôner
le maître des cieux
je rugis sous le volcan -
Daphné, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
7 juillet 2014
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Faute de récolter
les lauriers de la gloire
je rejoins l’immortelle nature -
antigone, par Angèle Casanova ,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
28 octobre 2013
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée. Des cris résonnent (...)
Mon père, c’est un roc. Grand, beau, sûr de lui. Il s’occupe de notre ville et ce travail, il le fait bien. Et puis la peste arrive. Sans crier gare. Un jour, tout le monde vaque à ses occupations. Le lendemain, les rues sont désertes, la ville abandonnée.
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Belfort, le 22 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
22 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. Le soleil. Les fleurs. Le thé que je lape doucement. En lisant. Ce matin, je me suis assise sur le rebord du buffet de la cuisine, pour (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. -
l’autre chaussure,
dans
maman, maman, j’ai rêvé de l’ours,
le
8 octobre 2013
L’autre chaussure, je ne l’ai jamais revue. En son absence, les chaussures, j’en achète. Souvent. Je les range en rang d’oignon. Deux par deux. Je déteste en égarer une. Quand cela se produit, je panique. Je cherche, convulsivement, sous le lit. Jusqu’à ce que je la trouve. Alors, (...)
L’autre chaussure, je ne l’ai jamais revue. En son absence, les chaussures, j’en achète. Souvent. Je les range en rang d’oignon. Deux par deux. Je déteste en égarer une. Quand cela se produit, je panique. Je cherche, convulsivement, sous le lit.
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