Dans mon enfance on aurait appelé cela un terrain vague. Il y en avait un tout près, dans mon quartier de privilégiés. Près d’un hectare juste en face des immeubles, aujourd’hui occupé par des barres hideuses à prétention résidentielle. C’était mon espace de liberté.
« photographie »
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Le petit frère de Shona, par Philippe Aigrain (atelier de bricolage littéraire),
dans
écrire avec Philippe Aigrain (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
Dans mon enfance on aurait appelé cela un terrain vague. Il y en avait un tout près, dans mon quartier de privilégiés. Près d'un hectare juste en face des immeubles, aujourd'hui occupé par des barres hideuses à prétention résidentielle. C'était mon espace de liberté. On s'y (...)
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plus d’encre dans l’imprimante, une recension des Vases communicants de décembre 2014, par Angèle Casanova,
dans
recensions des Vases communicants de décembre 2014,
le
8 décembre 2014
Plus d'encre dans l'imprimante, il va falloir changer le toner. Faire la recension des Vases communicants demande une grande organisation. Préparer les textes pour leur lecture à voix haute en Courrier new taille 12 un interligne 1/2. Agrafer les feuillets, les tromboner par (...)
Plus d’encre dans l’imprimante, il va falloir changer le toner.
Faire la recension des Vases communicants demande une grande organisation. -
le feu, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Camille Philibert-Rossignol (novembre 2014),
le
7 novembre 2014
Quand j’étais malade, mon père faisait du feu dans ma chambre. Il apportait un très grand soin à dresser les bûches sur le petit bois, à glisser entre les chenêts la poignée de copeaux. Manquer un feu eût été une insigne sottise. Je n’imaginais pas que mon père pût avoir d’égal dans (...)
"Quand j’étais malade, mon père faisait du feu dans ma chambre. Il apportait un très grand soin à dresser les bûches sur le petit bois, à glisser entre les chenêts la poignée de copeaux. Manquer un feu eût été une insigne sottise.
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La langue de l’instant, par Eric Dubois,
dans
écrire avec Eric Dubois (septembre 2015),
le
4 septembre 2015
La langue de l'instant épouse le bonheur du monde, l'océan-brume des traversées singulières . Elle est une montagne pour les enfants que nous sommes. Fil à fil, la mémoire berce nos épaules dans des mouvements de sismographe. On éprouve des regrets en évoquant ces moments où le (...)
La langue de l’instant épouse le bonheur du monde, l’océan-brume des traversées singulières .
Elle est une montagne pour les enfants que nous sommes. -
INTERDIT,
dans
poèmes,
le
6 juillet 2014
Tu es caché au dos d’un panneau INTERDIT rouge impératif sans nuances tu y es caché je le sais plusieurs fois je te vois derrière dessous quelqu’un a dégommé le panneau INTERDIT en passant peut-être à coup de pied peut-être en trébuchant toujours est-il que je te vois plusieurs (...)
Tu es caché
au dos d’un
panneau
INTERDIT -
Duel, une nouvelle poétique publiée dans le recueil collectif Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, paru aux Éditions Bancal en novembre 2015,
dans
publications,
le
13 décembre 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle poétique Duel dans le recueil collectif Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, paru aux Éditions Bancal en novembre 2015, qui rassemble les 12 textes sélectionnés dans le cadre du premier concours de nouvelles (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de ma nouvelle poétique Duel dans le recueil collectif Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, paru aux Éditions Bancal en novembre 2015.
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un chat dans ma gorge, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Danielle Masson (décembre 2014),
le
5 décembre 2014
Il existe un pays où les gens ne parlent presque pas. C’est le pays de la grande fabrique de mots. Agnès de Lestrade (texte), Valeria Docampo (illustrations). La grande fabrique de mots (Alice Jeunesse,2009) Je n’ai pas donné ma langue au chat. Le chat s’est fâché. Il a (...)
Je n’ai pas donné ma langue au chat.
Le chat s’est fâché. -
Sur la place Pie, il y a les Halles, par Brigitte Célérier,
dans
écrire avec Brigitte Célérier (décembre 2012),
le
7 décembre 2012
Sur la place Pie, il y a les Halles.... car Perrinet Parpaille, rude réformé, fut pris à Bourg-Saint-Andréol en l'an 1561 et condamné à mort, sa grosse maison près de Saint Jean-le-Vieux pillée et rasée, car on mit sur son vide une colonnade, trois rangées de piliers en attente de (...)
Sur la place Pie, il y a les Halles....
car Perrinet Parpaille, rude réformé, fut pris à Bourg-Saint-Andréol en l’an 1561 et condamné à mort, sa grosse maison près de Saint Jean-le-Vieux pillée et rasée, car on mit sur son vide une colonnade, trois rangées de piliers en attente de toiture -
LA RUE DE A À Z // Little Senegal, Harlem, NY, USA, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Gilles Piazo (octobre 2013),
le
3 octobre 2013
Pour lire mon texte, allez là
Les photographies qui composent "La rue de A à Z" ont été prises un matin de décembre 2012, un peu avant 8h, à Little Senegal, Harlem, New York, entre le coin de la 119e rue et Adam Clayton Powell Bvd, la 116e rue et le coin de la 119e et Malcolm X Bvd (nom actuel de Lenox Avenue).
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tant pis pour l’improbable, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Philippe Aigrain (juillet 2013),
le
5 juillet 2013
De son passage, il ne reste qu’une trace, qui court de barreau en barreau, le long de cette clôture métallique. Elle a longé le collège. Elle s’est appuyée un instant contre la grille. Pour se reposer. Elle avait parcouru un long chemin. Fatiguée, elle s’est contentée de glisser (...)
De son passage, il ne reste qu’une trace, qui court de barreau en barreau, le long de cette clôture métallique.
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