J’te tourne autour
j’sais rien fair’ d’autre
j’te tourne autour
« voiture »
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j’te tourne autour,
dans
la route,
le
27 avril 2014
J’te tourne autour j’sais rien fair' d’autre j’te tourne autour je tourne je tourne robe légère pied en l’air je tourne Notre danse est joie espérance notre danse est sans début sans fin Elle change pourtant Au fur et à mesure nous dansons plus près toujours plus près l’un de (...)
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aflojar a fondo,
dans
photo-textes,
le
12 avril 2013
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées. De la rue, la façade accroche la lumière. On la devine, sa (...)
Il habite dans un immeuble étudié pour l’ensoleillement maximal. Chaque balcon, orienté. En quinconce. Plein sud. Isolé. Des autres appartements. Des voisins. Du bruit. De tout. Sauf du soleil. Vie parallèles, étagées.
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parenthèse temporelle,
dans
maman, maman, j’ai rêvé de l’ours,
le
6 novembre 2006
21h00. Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision. Le téléphone sonne. Le fixe ? Papa m’a appelé cette semaine. Ca doit être maman. Je décroche. Ouaip ? Mademoiselle … ? Oui ? Je suis l’agent … de la gendarmerie de …. Vous êtes bien la fille de Madame … ? Oui ? (...)
21h00.
Je viens de finir mon dessert. Je somnole devant la télévision.
Le téléphone sonne. -
manche à air,
dans
la route,
le
13 avril 2014
J’ai chaud. L’air est irrespirable dans l’habitacle. J’appuie sur le bouton d’ouverture des vitres. J’accélère. Le vent entre par rafales. Ma robe légère se gonfle. Palpite sous l’effet de l’air. Des mèches raides fouettent mon visage. Je regarde droit devant moi. Imperturbable. Mes (...)
J’ai chaud. L’air est irrespirable dans l’habitacle. J’appuie sur le bouton d’ouverture des vitres. J’accélère.
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les territoires étranges,
dans
la route,
le
22 mars 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème les territoires étranges dans la revue LE CAPITAL DES MOTS, 22 mars 2015 (article paru le 22 mars 2015).
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème les territoires étranges dans la revue LE CAPITAL DES MOTS, 22 mars 2015 (article paru le 22 mars 2015).
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le pont,
dans
la vie des vaches,
le
11 novembre 2014
Un pont raye l'autoroute. Je m'approche de lui à vive allure. Il grandit dans le pare-brise. Je lève les yeux. Et les vois. Les vaches. Toute une file de vaches, qui se détache sur le ciel couchant. Gris ardoise orangé. Elles avancent. A la queue leu-leu. Lentement. Sur le pont. (...)
Un pont raye l’autoroute. Je m’approche de lui à vive allure. Il grandit dans le pare-brise. Je lève les yeux. Et les vois. Les vaches. Toute une file de vaches, qui se détache sur le ciel couchant. Gris ardoise orangé. Elles avancent. A la queue leu-leu. Lentement. Sur le pont.
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ton mégot danse,
dans
au ras du sol,
le
20 décembre 2014
je t'attends dans le noir avec lui il babille gentiment la tête appuyée à la vitre une histoire de tope la mec force ou cool mes yeux fouillent le noir te cherchent l'eau noie tout et puis je te vois à l'angle de l'immeuble les épaules rentrées je te distingue à peine ton (...)
je t’attends
dans le noir
avec lui -
Dead end, par Pierre Ménard (liminaire),
dans
écrire avec Pierre Ménard (mai 2013),
le
3 mai 2013
« L'image a toujours le dernier mot. » Cette phrase de Roland Barthes que je ne connais pas (je ne sais pas de quel ouvrage elle est extraite), aperçue dans le métro new-yorkais, me trotte dans la tête tout au long de notre découverte de Greenpoint. Elle m'attire, m'intrigue, me (...)
« L’image a toujours le dernier mot. » Cette phrase de Roland Barthes que je ne connais pas (je ne sais pas de quel ouvrage elle est extraite), aperçue dans le métro new-yorkais, me trotte dans la tête tout au long de notre découverte de Greenpoint.
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ariane, par Angèle Casanova,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
27 octobre 2013
La voiture démarre et quitte le parking. Elle la suit des yeux, bras ballants. L’aire d’autoroute est déserte. Il est tard. Au bout d’un temps indéterminé, elle tressaille et regarde autour d’elle. Les chiottes ouverts. Le bois tout proche. Le van garé à l’autre bout du parking. (...)
La voiture démarre et quitte le parking. Elle la suit des yeux, bras ballants. L’aire d’autoroute est déserte. Il est tard. Au bout d’un temps indéterminé, elle tressaille et regarde autour d’elle.
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l’écran tremblote,
dans
la route,
le
5 mai 2014
Le bar est encore ouvert. Portes béantes sur la nuit. Lueur froide et feutrée. Celle des veilleuses que le barman a laissées après avoir éteint les plafonniers. De mon poste d’observation, au volant de ma voiture, je discerne les tabourets retournés sur le comptoir. Bien alignés. (...)
Le bar est encore ouvert. Portes béantes sur la nuit. Lueur froide et feutrée. Celle des veilleuses que le barman a laissées après avoir éteint les plafonniers.
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