Une nourrice à Sainte Agathe
Voit son téton qui se dilate
« femme »
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Au jour de la Sainte Colette, par Wana Toctouillou,
dans
écrire avec Wana Toctouillou (mars 2015),
le
6 mars 2015
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erreur sur la personne,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème erreur sur la personne, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. erreur sur la personne a été (...)
J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème erreur sur la personne.
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recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, aux Editions Bancal,
dans
publications,
le
5 octobre 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème duel dans le recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, le premier ouvrage publié par les Editions Bancal. A cette occasion, j'ai signé, avec grande émotion, mon premier contrat d'auteur. Le livre numérique (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème duel dans le recueil Illusion(s) : nouvelles et textes poétiques, le premier ouvrage publié par les Editions Bancal.
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erreur sur la personne,
dans
publications,
le
22 janvier 2016
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème erreur sur la personne dans le n°4 de la revue MÉTÈQUE, Coming out (janvier 2016), p. 53. Mon poème est accompagné d'une photographie par Sophie Lampole.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème erreur sur la personne dans le n°4 de la revue MÉTÈQUE, Coming out (janvier 2016), p. 53.
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La surprise (à partir de La chemise enlevée de Fragonard),
dans
poèmes,
le
7 décembre 2015
elle a attendu son retour aussi longtemps que ses paupières mais le sommeil lui est tombé dessus sans crier gare chaude du désir pressenti elle somnole bien-être certitude et se rend compte qu’elle est toute habillée entre deux eaux cheveux ébouriffés elle invoque alors les (...)
elle a attendu son retour
aussi longtemps que ses paupières
mais le sommeil lui est tombé dessus sans crier gare -
partie civile, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Yoxigen (octobre 2012),
le
5 octobre 2012
Pour lire mon texte, allez là
7h00 du matin. Une lueur pâle traverse les rideaux de la chambre. Elle se tient au pied de son lit. Debout. Danse légèrement d’un pied sur l’autre. Lisse son pantalon, ajuste son chemisier. Porte ses mains à son visage, le masse doucement, puis se rassoit sur le lit. Bras croisés.
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déjanire, par Angèle Casanova ,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
7 juillet 2014
Mon voisin, c’était le bouc-émissaire idéal. Il m’est tombé dessus comme une fleur. En même temps, j’ai eu le temps de le voir venir. Comme si un type qui t’épie entre deux pieds de troènes pendant que tu fais la vaisselle, tu pouvais le louper. Persévérant, avec ça. Qu’il pleuve, (...)
Mon voisin, c’était le bouc-émissaire idéal. Il m’est tombé dessus comme une fleur. En même temps, j’ai eu le temps de le voir venir. Comme si un type qui t’épie entre deux pieds de troène pendant que tu fais la vaisselle, tu pouvais le louper.
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Belfort, le 20 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
20 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. -
Belfort, le 2 octobre 2014 à 23 heures, par Angèle Casanova,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
3 octobre 2014
Chère Grisélidis Réal, Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi. Je ne vois nul hasard dans le souhait que vous émettez, après des (...)
Chère Grisélidis Réal,
Lorsque vous comprenez que vous allez mourir, vous renouez avec Jean-Luc Hennig. Pour vous, la mort est un livre. Elle prend la forme d’un livre. Parce que ne me racontez pas n’importe quoi. -
Belfort, le 22 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
22 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous. Le soleil. Les fleurs. Le thé que je lape doucement. En lisant. Ce matin, je me suis assise sur le rebord du buffet de la cuisine, pour (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je pense singulièrement à vous, ces jours-ci. C’est bien simple, vous m’habitez. Littéralement. Tout me parle de vous.
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