Ma voisine, je l’ai dans la peau. C’est pratique, elle habite à côté. Cela m’évite les rêves trop chers. Inaccessibles. Alors, ma voisine, j’y pense le jour, la nuit. Quand je la croise au Super U, poussant timidement son chariot, j’en deviens fou.
« errance »
-
nessos, par Angèle Casanova ,
dans
mythes selon Angèle Casanova,
le
6 juillet 2014
Ma voisine, je l’ai dans la peau. C’est pratique, elle habite à côté. Cela m’évite les rêves trop chers. Inaccessibles. Alors, ma voisine, j’y pense le jour, la nuit. Tout le temps. Quand je la croise au Super U, poussant timidement son chariot, j’en suis bouleversé. Je ne sais pas (...)
-
ligne de partage,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s'est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l'heure québécoise, avec mon poème ligne de partage, publié sur la page Angèle Casanova de Poème sale. Ligne de partage a été initialement (...)
J’ai participé à la Nuit virtuelle II : la revanche de la prose de la revue POEME SALE, qui s’est déroulée dans la nuit du 4 au 5 mars 2016, à l’heure québécoise, avec mon poème ligne de partage.
-
Sens interdit, par Camille Philibert-Rossignol,
dans
écrire avec Camille Philibert-Rossignol (septembre 2012),
le
7 septembre 2012
Questionner vous permettra-t-il d'avancer plus vite sur mes pavés ? Et dans un premier temps, demander où je suis aux passantes nonchalantes vous aidera-t-il à me dénicher dans le quartier ? Quand le métro ferme ses grilles, combien de temps durent ces longs moments taiseux où (...)
Questionner vous permettra-t-il d’avancer plus vite sur mes pavés ? Et dans un premier temps, demander où je suis aux passantes nonchalantes vous aidera-t-il à me dénicher dans le quartier ?
-
interdit aux hommes, par Angèle Casanova,
dans
écrire avec Giovanni Merloni (mars 2014),
le
7 mars 2014
Le processus qui amène du chagrin à la végétation. Je le vis. De l’intérieur. Je l’observe dans mon corps. Dans ma chair. Comme la marée, mon chagrin se répand de tous côtés. Jusqu’à l’horizon. Plus rien n’existe en dehors de lui. L’air que je respire. La nourriture que je mange. Tout a (...)
Le processus qui amène du chagrin à la végétation. Je le vis. De l’intérieur. Je l’observe dans mon corps. Dans ma chair.
-
Presque, par Franck Queyraud,
dans
écrire avec Franck Queyraud (février 2013),
le
1er février 2013
Nous sommes presque uniquement constitués de ténèbres. Entre ciel et terre / Jon Kalman Stefansson. – Gallimard, 2010. Presque. Ce presque qui fait toute la différence. Ce presque qui s’élève face à notre conscience, presque de manière anodine. Doucement. Presque subrepticement, (...)
Presque. Ce presque qui fait toute la différence. Ce presque qui s’élève face à notre conscience, presque de manière anodine. Doucement.
-
les territoires étranges,
dans
publications,
le
22 mars 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème les territoires étranges dans la revue LE CAPITAL DES MOTS (article paru le 22 mars 2015).
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème les territoires étranges dans la revue LE CAPITAL DES MOTS (article paru le 22 mars 2015).
-
au bord de la route,
dans
poèmes,
le
20 juillet 2014
Elle est assise au bord de la route les genoux en l’air les fesses sur le trottoir entre ses jambes nues un moulin à vent Elle tient bien serrée la tige du moulin et regarde les pales tourner au vent en riant Les pales tournent l’enfant rit Autour d’elle le marché s’agite (...)
Elle est assise
au bord de la route
les genoux en l’air
les fesses sur le trottoir -
De A en B,
dans
publications,
le
18 juin 2017
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication d'un ensemble de nouvelles, récits, poèmes, De A en B, dans le Hors-série #1 : Francis Caudron de la revue Le Cafard hérétique, publié en mai 2017, p. 115-120.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication d’un ensemble de nouvelles, récits, poèmes, De A en B, dans le Hors-série #1 : Francis Caudron de la revue Le Cafard hérétique, publié en mai 2017, p. 115-120.
-
au bord de la route,
dans
publications,
le
18 avril 2016
J'ai le plaisir de vous faire découvrir une photographie de mon poème au bord de la route, prise dans le cadre de PAQCAD - la poésie a quelque chose à dire. Elle a été publiée le 19 janvier 2016 sur la page Facebook du dispositif. Je n'ai pas demandé à Xavier Frandon, qui se cache (...)
J’ai le plaisir de vous faire découvrir une photographie de mon poème au bord de la route, prise dans le cadre de PAQCAD - la poésie a quelque chose à dire.
-
Ulysse, par Olivier Savignat,
dans
mythes selon Olivier Savignat,
le
28 juin 2014
Pour lire le texte d'Olivier Savignat, aller là
J’ai arpenté l’étendue
du globe
où vivrais-je donc ?