En 2006, j’ai créé un blog. Gadins et bouts de ficelles (aujourd’hui disparu, au bénéfice du présent site). J’avais toujours écrit. Eu envie d’écrire. Et, douée pour l’échec, j’avais tourné autour. Des années. Sans parvenir à me lancer. Rien ne venait. Un doux renoncement avait fini par m’envahir.
« lecteur »
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prolégomène à toute recension future,
dans
expérimentation,
le
8 novembre 2014
En 2006, j'ai créé un blog. Gadins et bouts de ficelles (aujourd'hui disparu, au bénéfice du présent site). J'avais toujours écrit. Eu envie d'écrire. Et, douée pour l'échec, j'avais tourné autour. Des années. Sans parvenir à me lancer. Rien ne venait. Un doux renoncement avait fini (...)
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bad x 15,
dans
petits bouts de vie,
le
22 mai 2017
Pour lire mon poème, cliquez ici :
SSTTJJ toute une troupe intraduisible WWNNFFBBPPMM ces mots énigmatiques HH émergent et tracent des signes RRDKVQLYXP dans ma tête je les comptabilise bad x 15 pointe mon doigt
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Métabolisme [série], in : Œuvres ouvertes : la webradio littéraire, numéro 5, mars 2015,
dans
publications,
le
22 mars 2015
J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation au numéro 5 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l’occasion, dans la rubrique Voix vives, ma série poétique Métabolisme [série], initialement publiée sur LA REVUE DES RESSOURCES, (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation au numéro 5 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES.
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répétition,
dans
répétition,
le
26 septembre 2013
Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu. Entreprise ô combien périlleuse. J’en (...)
Lire, c’est montrer son âme. Incarner quelqu’un d’autre, sa pensée. L’incarner dans sa chair, dans sa voix, dans sa sensualité. Pas simple, tout ça. Exhiber les entrailles d’un autre, s’exhiber également par la même occasion, c’est se mettre à nu.
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a song for Gilou,
dans
petits bouts de vie,
le
7 février 2011
Tu aimes mes mots. Quand ils sont mélancoliques, surtout. Tu ranges mes mots. Dans tes tiroirs, dans ton sac à main. Tu les as tous gardés. Merci, gardienne de mes mots ! Moi aussi, ce soir, j'ai envie de garder trace de cette conversation où tu m'as dit aimer mes mots, (...)
Tu aimes mes mots.
Quand ils sont mélancoliques, surtout.
Tu ranges mes mots. -
tout ce qu’on veut,
dans
oloés au jour le jour,
le
7 janvier 2015
écrire dessiner tout ce qu'on veut point barre
écrire
dessiner -
Belfort, le 20 septembre 2014,
dans
chère Grisélidis Réal,
le
20 septembre 2014
Chère Grisélidis Réal, Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. Je picore vos lettres à dose homéopathique. Je ris. Je pleure. Je m’indigne avec vous. Je souffre aussi. La nuit (...)
Chère Grisélidis Réal,
Je vis avec vous depuis un mois. Je vous découvre. Livre après livre. Je plonge au cœur de votre vie, qui éclaire la mienne. D’une lumière inédite. -
gueule cassée,
dans
oloés au jour le jour,
le
12 janvier 2015
y a pas à dire la liberté c'est important restons-y fidèles à cette belle idée un peu casse gueule
y a pas à dire
la liberté
c’est important -
Hommage à Maryse Hache, in : Œuvres ouvertes : la webradio littéraire, numéro 2, décembre 2014 ,
dans
publications,
le
27 décembre 2014
J'ai le plaisir de vous annoncer ma participation, pour un hommage à Maryse Hache, au numéro 2 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l'occasion sa baleine paysage 85. Dans ce numéro, vous pourrez également écouter des lectures (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer ma participation, pour un hommage à Maryse Hache, au numéro 2 de la webradio littéraire proposée par Laurent Margantin sur ŒUVRES OUVERTES. Je lis pour l’occasion sa baleine paysage 85.
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Pillage des vases, avant le chant du violoncelle et autres, par Brigitte Célérier,
dans
recensions des Vases communicants de novembre 2014,
le
8 novembre 2014
Pour lire la recension de Brigitte Célérier, allez là.
Parce que cela flattait ma dive paresse, ma compagne,
ai décidé de rester en bordure du jour, dans le flou -
Parce qu’il me reste un petit goût pour ce rite (et parce qu’après échange avec Angèle Casanova, il en avait été ainsi décidé)
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