je suis assise
en tailleur
le nez levé
« angoisse »
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la quatrième dimension,
dans
poèmes,
le
8 mai 2015
je suis assise en tailleur le nez levé sur l’écran mon regard hésite entre deux inquiétudes ma mère pourrait passer la porte des choses affreuses pourraient apparaître là me faire sursauter crier peut-être et me trahir ma mère pourrait alors survenir et… toute à mon (...)
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cent soixante degrés,
dans
poèmes,
le
8 décembre 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème cent soixante degrés sur le site de la revue le FESTIVAL PERMANENT DES MOTS (article paru le 8 décembre 2015). Ce poème est également publié dans le FPM papier n°9 (mars 2016). Il a également donné lieu à un vidéopoème (...)
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème cent soixante degrés sur le site de la revue le FESTIVAL PERMANENT DES MOTS (article paru le 8 décembre 2015). Ce poème sera publié dans le FPM papier de mars 2016.
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Je fais comme si..., par Christophe Sanchez (fut-il),
dans
écrire avec Christophe Sanchez (septembre 2013),
le
5 septembre 2013
Je fais comme si une nouvelle fois le jour n’avait pas égratigné mes rêves, mes espoirs et mes craintes. Juste une poignée de secondes avant la grande bascule. C’est la minute lourde et tendue, celle qui traine sa savate dans le trouble, celle qui ferme le clapet du monde. En (...)
Je fais comme si une nouvelle fois le jour n’avait pas égratigné mes rêves, mes espoirs et mes craintes. Juste une poignée de secondes avant la grande bascule.
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cette jambe qui tremble,
dans
petits bouts de vie,
le
3 juillet 2012
La vie passe. A moitié enfuie, déjà. L’urgence d’écrire, toujours présente. Mais la peur, aussi. Peur de cette jambe qui tremble. Quand ça vient. Quand je vois. Une brise, une lueur, une idée. Peur de cette jambe qui tremble. Qui fait le lien. L’écriture, la jouissance. Peur (...)
La vie passe.
A moitié enfuie, déjà.
L’urgence d’écrire, toujours présente.
Mais la peur, aussi. -
au loin, une autre porte,
dans
petits bouts de vie,
le
11 août 2012
Souvent le même rêve. Ma mère avait un autre appartement. Je l’avais oublié. Tout simplement. Mais un jour, il m’est revenu en mémoire. Alors j’ai cherché sa clé. Je ne l’ai pas trouvée. J’y suis allée, quand même. C’est la zone. Une cité. Sale. Déserte. Décidément, ce cauchemar (...)
Souvent le même rêve. Ma mère avait un autre appartement. Je l’avais oublié. Tout simplement. Mais un jour, il m’est revenu en mémoire. Alors j’ai cherché sa clé. Je ne l’ai pas trouvée. J’y suis allée, quand même.
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code(s),
dans
petits bouts de vie,
le
6 mai 2012
« Pour éviter tout risque de collision, un croisement s’effectue en ralentissant et en serrant à droite. Le plus encombrant facilite le passage. Sauf, en agglomération, s’il s’agit d’un véhicule de transport en commun. Sauf s’il s’agit d’un véhicule d’intervention utilisant ses (...)
« Pour éviter tout risque de collision, un croisement s’effectue en ralentissant et en serrant à droite. Le plus encombrant facilite le passage.
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goguenards,
dans
nouvelles,
le
17 février 2014
Tous les matins, je m’installe à ma table à dessin. Les journaux du jour et un mug de café à portée de main. Tout en buvant mon café, je commence à tracer, négligemment, quelques croquis. De temps en temps, je pose mon crayon. Je tourne la mollette de la radio. Je change de chaîne. A (...)
Tous les matins, je m’installe à ma table à dessin. Les journaux du jour et un mug de café à portée de main. Tout en buvant mon café, je commence à tracer, négligemment, quelques croquis.
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lycantrope,
dans
petits bouts de vie,
le
25 mai 2008
Je suis un loup. Un loup-garou, plus précisément. Bon, un loup-garou un peu spécial. Mais les mythes sont des mythes, et moi, je suis bien réelle. Donc, je suis un loup. De temps en temps. Ponctuellement. Ma pleine lune à moi, c’est la sensation sourde d’une menace... (...)
Je suis un loup.
Un loup-garou, plus précisément.
Bon, un loup-garou un peu spécial. Mais les mythes sont des mythes, et moi, je suis bien réelle. -
sens critique,
dans
petits bouts de vie,
le
18 octobre 2013
Le sens critique je ne l’ai pas. Je gobe tout. Comme une mouche. Je ne comprends pas les blagues. Je minimise les défauts des gens. Tout me parvient étouffé passé au crible d’une douceur de vue qui m’accable quand atterrée je me rends compte. Que je suis encore une fois restée à la (...)
Le sens critique je ne l’ai pas. Je gobe tout. Comme une mouche. Je ne comprends pas les blagues. Je minimise les défauts des gens. Tout me parvient étouffé passé au crible d’une douceur de vue qui m’accable quand atterrée je me rends compte.
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vortex,
dans
publications,
le
5 octobre 2015
J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème vortex dans la revue PAYSAGES ECRITS n°25 (septembre 2015), p. 74.
J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de mon poème vortex dans la revue PAYSAGES ECRITS n°25 (septembre 2015), p. 74.
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