par angèle casanova

« New York »

  • Dead end, par Pierre Ménard (liminaire), dans écrire avec Pierre Ménard (mai 2013), le 3 mai 2013

    « L’image a toujours le dernier mot. » Cette phrase de Roland Barthes que je ne connais pas (je ne sais pas de quel ouvrage elle est extraite), aperçue dans le métro new-yorkais, me trotte dans la tête tout au long de notre découverte de Greenpoint.

    « L'image a toujours le dernier mot. » Cette phrase de Roland Barthes que je ne connais pas (je ne sais pas de quel ouvrage elle est extraite), aperçue dans le métro new-yorkais, me trotte dans la tête tout au long de notre découverte de Greenpoint. Elle m'attire, m'intrigue, me (...)
  • tout en haut de l’échelle, dans NY, Harlem, 119th Street, le 6 décembre 2012

    Bottes en cuir marron. Liseré vertical parsemé de touts petits clous. Talons plats. Font la jambe fine et légère. Manteau en cuir même couleur. Cheveux tous propres, lâchés, soyeux. Maquillage un brin appuyé aux yeux. Goût du rouge à lèvres. Lunettes de soleil.

    Bottes en cuir marron. Liseré vertical parsemé de touts petits clous. Talons plats. Font la jambe fine et légère. Manteau en cuir même couleur. Cheveux tous propres, lâchés, soyeux. Maquillage un brin appuyé aux yeux. Goût du rouge à lèvres. Lunettes de soleil. Meetpacking. Chelsea. (...)
  • des nouilles à l’Abreuvoir, par Angèle Casanova, dans photo-textes, le 3 mai 2013

    « Voir Bobigny
    – Il n’y a rien à voir à Bobigny.
    – Pourquoi, ça n’existe pas ?
    – Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer.

    « Voir Bobigny – Il n’y a rien à voir à Bobigny. – Pourquoi, ça n’existe pas ? – Si, ça existe, mais il n’y a rien à voir. Ça ne vaut pas la peine de se déplacer. – Si ça existe, on doit voir quelque chose, une réalité comme une autre, comme un désert, comme un campement d’Indiens, comme (...)

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[1Jacques Gaucheron, La Ballade de Bobigny, 1987, p. 15